www.surfrepotes.fr

zitoune a écrit:

zitoune a écrit:NTM referait une tournée en septembre, joey starr et kool shen devraient l'annoncer ce soir au grand journal
(je vais prendre mes places dès que possible )

Bon ben après check de la FNAC les places restantes démarrent à 67€, je passe mon tour

joey starr doit changer ses dents ?

ah justement il les avait plus au grand journal l'autre soir, la quarantaine, l'age de raison certainement

la vidéo :

leevankyu a écrit:joey starr doit changer ses dents ?

Il a le verbe tellement acide, que le portail massif est tout corrodé

Difficile de parler musique dans un forum de surf sans ne parler un jour des trois new-yorkais de NADA SURF. D’autant plus que ces temps-çi seuls les plus courageux, chanceux, téméraires ou les voyageurs arrivent à tirer leur épingle du jeu pour les autres c’est NADA SURF. Voici l’histoire de ce groupe au nom qui ne peut que nous interpeller.


1996. Tout commence par un tube monstre, Popular, ultime spasme d’un mouvement "rock alternatif" vivant à la fin des années 90 ses dernières heures de gloire et qui pose le premier quiproquo d’une longue série : « le fait que nous étions sur une major à l’époque n’était pas naturel. Un groupe tel que Nada Surf appartient plus logiquement à l’underground, qui a une définition et un champ d’action bien plus vaste aux Etats Unis ». Une union contre nature qui trouvera rapidement ses limites au moment d’un deuxième album qui, bien que magistral, ne correspondra plus aux attentes du marché et dont la sortie américaine sera largement sabordée par le label. Déjà à ce moment-là, la France fera figure de privilégiée puisque c’est le seul pays où The proximity effect bénéficiera d’une sortie convenable. Nous sommes en 98.



De 1998 à 2000, l’histoire de Nada Surf s’écrit moins sur scène que dans les tribunaux où la bataille fait rage pour récupérer les droits du deuxième album lésé auquel ils souhaitent offrir une distribution US plus digne. Une fois gain de cause obtenu, le groupe signe sur un label indépendant, Barsuk, pour lequel ils enregistreront Let go en 2002. Ensuite, par un jeu parfois complexe de licences, le troisième album des new-yorkais se retrouve distribué de nouveau en Europe via Labels, une subdivision de EMI/Virgin. Volontiers plus introspectif et intimiste, Let go rencontre le succès critique et public dans cette vieille Europe dont ils se sentent si proches. Là encore, la France a droit à son petit traitement de faveur puisqu’une des chansons de l’album, Là pour ça, est écrite en français. Malgré le succès d’estime et des ventes sommes toutes honnêtes sans être extravagantes (pourtant dopées par leur reprise de l’Aventurier d’Indochine), EMI décide de bouter Nada Surf hors de son giron faute de rentabilité. Bien que l’histoire se répète pour eux, les membres ne se démontent pas et retournent paisiblement à leur studio préparer un successeur à Let go qui verra le jour à la rentrée 2005 : The weight is a gift, distribué cette fois par le label V2. Matthew : « on ne fait pas exprès de changer de label à chaque fois, surtout qu’aux Etats-Unis nous sommes toujours chez Barsuk, on s’y sent à la maison. Les rapports sont plus spécifiques lorsqu’il s’agit de l’Europe où la distribution n’est pas uniforme et diffère d’un pays à l’autre. C’est dommage, d’autant qu’on préférerait se concentrer sur la musique ».


Début 2006. Contre toute attente, et plus de 5 mois après la sortie officielle de son quatrième album, Nada Surf se voit une nouvelle fois offrir les honneurs des radios nationales françaises qui diffusent massivement leur dernier single : Always love. On assiste alors à un phénomène rare mais fascinant chez certains groupes affichant plus de 10 ans de carrière : des nouveaux fans plus jeunes font leur apparition ; certains ignorant totalement l’existence du passé glorieux de leurs nouveaux idoles (en l’occurrence Popular).


S’inscrivant dans la droite lignée de son prédécesseur, The weight is a gift est un album solide et cohérent dont se détache avec plus d’évidence un "son Nada Surf". Matthew : « à l’époque de The proximity effect, nous avions investi plus de 200 000 dollars pour l’enregistrement, on a donc pu réellement se lâcher au niveau de l’énergie, le son étant bon. Au moment de Let go, ne disposant pas du financement d’une major, nous avons pris le parti de jouer au niveau de nos moyens, ce qui a donné une ambiance plus calme que nous avons naturellement reconduite sur notre dernier album, sans nous priver toutefois de morceaux plus rock. Nous sommes également moins sujets à nos influences qu’à l’époque. Mais rien ne dit que le prochain ne sera pas plus énervé. Le mot d’ordre étant de toujours nous laisser guider par nos envies ».


Rien de pré-établi chez le leader de Nada Surf qui, à 38 ans révolus, se définit comme un boulimique de musique. Car si, comme tout bon trentenaire qui se respecte, Matthew Caws est resté très attaché à la new wave et au post-punk de son adolescence (qu’on retrouve sur des morceaux comme High-speed soul ou Blankest year), ses tympans vibrent désormais au son du présent : « en 1984, ma soeur aînée était animatrice sur une radio universitaire, c’est elle qui m’a tout fait découvrir, notamment Echo & The Bunnymen qui restent mes préférés. Mais aujourd’hui, je n’en écoute quasiment plus. J’écoute surtout beaucoup de rap : Jay-Z, Nas, 50 cent… ou des trucs moins connus. Plus le beat est lourd et plus j’aime. On n’a qu’une vie, et je veux avoir entendu le plus de choses possibles avant de mourir ».
Aujourd’hui , le trio new-yorkais a le moral et le fait savoir avec ce cinquième album studio de chansons pop échevelées et harmonieuses comme il en pullule dans les séries pour ados les plus inspirées. Mis en boîte avec la complicité de John Goodmanson (Death Cab For Cutie, Blonde Redhead, Sleater-Kinney) aux Robert Lang Studios de Seattle (où Nirvana et Foofighters ont enregistré), en présence d’invités prestigieux tels que Ben Gibbard (DCFC), Ed Harcourt et John Roderick (Long Winters), Lucky est le disque d’un groupe qui a mûri et gagné en humanité. Plus chaleureuse et portée aux nues par des voix entrelacées (Whose Authority, Weightless), une orchestration généreuse mais jamais tape-à-l’œil (Ice On The Wind, The Film Did Not Go ’Round), et des textes souvent reconnaissants (Beautiful Beat, Here Goes Something), la musique de Nada Surf a tout pour ratisser plus large et ne devrait pas manquer de le faire si les radios d’ici et d’ailleurs consentent à entrer dans son jeu.



Sources : nouvelle vague, 150 db, fnac.

et pourquoi ils s'appellent NADA SURF? ils surfent?

Pour avoir ecumé le net a la recherche de cette info en faisant le post ci-dessus je peux te certifier que : je ne sais pas ! Cela reste un grand mystère pour moi, et je peux t'assurer que j'ai cherhcé partout. Si quelqu'un à la réponse ...

Bon je fais un peu de pub pour mon groupe : http://www.myspace.com/theclementineexperience, on a enregistré et mis en ligne une de nos chanson aujourd'h'ui. Allez y faire un tour si vous avez le temps et faites part de vos impressions (positives et négatives, sans problème ). Ah oui, je suis le bassiste du groupe.

J'ai écouté jusqu'au bout avec plaisir,et j'ai encore la chanson dans la tête,bien sympa donc.

Est-ce que comme toi,les autres musiciens et la chanteuse n'ont commencé la musique que depuis quelques mois?
Si c'est le cas c'est vraiment bien d'avoir déjà réalisé un morceau agréable à l'écoute,continuez sur cette voie!

En fait la chanteuse (Clémentine) chante et joue de la guitare depuis pas mal de temps, mais sans prendre de cours (famille de musiciens... ). Donc elle fait pas mal de compos sympa. Ma copine est au xylophone, tambourin, cazou, ... et elle fait les deuxièmes voix, depuis qu'on a commencé le groupe ! Moi je joue de la basse depuis deux ans, mais je n'ai, malheureusement, aucune technique; j'ai appris sur le tas (je connais même pas le nom de mes cordes ), et je compose mes basses directement sur les compos guitare/chant de Clémentine, à l'oreille.
Sinon, on a la chance de pouvoir enregistrer grâce au précieux "8 pistes" de la chanteuse ! Bien pratique ...
Voilà pour la petite histoire.

Shark a écrit:Bon je fais un peu de pub pour mon groupe : http://www.myspace.com/theclementineexperience, on a enregistré et mis en ligne une de nos chanson aujourd'h'ui. Allez y faire un tour si vous avez le temps et faites part de vos impressions (positives et négatives, sans problème ). Ah oui, je suis le bassiste du groupe.

Bien sympa cette petite musique
Par contre à part mettre de la musique en ligne j'ai jamais compris à quoi servait myspace (je dis pas ça spécialement pour le votre shark rassure toi! mais tous les myspace sur lesquels je vais le seul intérêt que j'y trouve c'est d'écouter la musique de l'artiste).

sympa, la voix est très agréable, c'est légé et sans prétention.

si un jour vous passez faire quelques dates en vendée fais le savoir.
(tiens pour la peine, je vous ai invité dans mon myspace! d'ailleurs je suis comme zitoune, j'y comprends pas grand choses! mais comme j'ai des amis musiciens qui y sont, j'y vais de temps en temps!)

la chanteuse a une super voix Vraiment très très sympa votre morceau

jessegaron a écrit:Je suis content d'avoir fait un nouvel adepte

pipeau a écrit:A stop live ...... vous m'en direz des nouvelles

Pour la petite histoire cette chanson est extraite du premier album et est une adaptation d'un morceau de NTM (ça montre les larges influences du mec).
Il existe un cd live de quelques titres mais distribué à l'époque uniquement sur son site.

Je ne peux que vous conseiller d'aller consulter ses dates de concert et aller le découvrir en live

Promis, il n'est pas de ma famille!!! Mais depuis le temps que je connais sa musique je trouve dommage qu'il ne soit pas reconnu plus que ça !

Il semblerait que tu ne sois pas le seul à avoir craqué pour cet artiste. Entendu sur le mouv' , france inter, des papiers par-çi, par-là , Fred est en train de charmer tout le monde !

moi j'écoute ça en ce moment le dernier album de Lenny Kravitz vraiment bien !

moi j'ecoute le dernier album de gwayav

il est vraiment trés sympa !